Monday 23 September 2013

Français : la vingt-huitième semaine

La vingt-huitième semaine (du 20 juillet au 26 juillet)

     Je viens vers la fin de mon cours de français. Je patauge très lentement à travers des exercices. Je me suis enlisé. Il faut que je lise quelques articles scientifiques sur la biométrie et sur le clonage et que j'en écrive quelque chose. Ces textes comprennent pas mal des expressions idiomatiques, des locutions énigmatiques, du vocabulaire spécifique. Cela me gêne beaucoup. Je préférerais jouer avec les mots plutôt que pencher sur les thèmes académiques.
     Je pense à la dissertation, comment mieux l'écrire. Elle durera trois heures. Je recevrai un sujet, une question qui sera formulée de façon énigmatique, je suis sûr. Il faudra que je lise deux textes attachés. J'espère qu'ils ne seront pas trop difficiles à comprendre. Je vais souligner tout cela que je trouve utile et le marquer en fonction de son application possible dans le squelette du plan. Je ne vais pas le faire, mais il vaudrait peut-être mieux si je dessinais une marge et y mettais des annotations ? Je ne suis pas sûr comment le faire pour que ce soit lisible pour la personne qui l'évaluera. J'ai besoin de lieu pour les mots-clés, pour le squelette très rudimentaire, ensuite un lieu pour les phrases-essais et finalement un lieu pour un paragraphe prêt. Peut-être je l'écrirai verticalement sur cette marge ? Je ne voudrais pas que ma dissertation devienne gribouillage illisible. J'ai au moins pratiqué écrire manuellement. Bien, j'ai maîtrisé la structure et il me semble que l'introduction sera facile, alors la synthèse, parce que j'aurai sans doute quelque avis sur le thème. La conclusion me semble banale, il faut seulement que je trouve quelque chose plus générale. La part la plus pénible sera d'inventer des idées pour et contre et les enchaîner logiquement. Enfin il faudra que je lise tout attentivement pour éliminer les erreurs.
     Généralement je n'en fais beaucoup, par exemple en écrivant cet article, j'en ai fait... une ? Ouah – j'ai oublié du trait d'union dans l'expression « mots-clés ». Il semble prometteur !

     Zbliżam się do końca mojego kursu języka francuskiego. Brnę bardzo powoli przez ćwiczenia. Ugrzązłem. Muszę przeczytać parę artykułów naukowych o biometrii i klonowaniu i napisać coś o tym. Te teksty zawierają bardzo dużo wyrażeń idiomatycznych, zagadkowych zwrotów i specjalistycznego słownictwa. Strasznie mnie to denerwuje. Wolałbym bardziej bawić się słowami niż ślęczeć nad akademickimi tematami.
     Myślę o pracy końcowej, jak ją najlepiej napisać. Będzie trwać trzy godziny. Dostanę temat, jakieś pytanie dziwacznie sformułowane, czego jestem pewien. Będę musiał przeczytać dwa załączone teksty. Mam nadzieję, że nie będą za trudne do zrozumienia. Zamierzam podkreślić to, co wyda mi się użyteczne i oznaczyć odnośnie potencjalnego zastosowania w szkielecie planu. Nie planuję go konstruować, ale może lepiej by było, gdybym narysował margines i tam umieścił jakieś notatki? Nie jestem pewien, jak to zrobić, żeby było to czytelne dla osoby, która to oceni. Potrzebuję miejsca na słowa kluczowe, na podstawowy szkielet konstrukcji, następnie na próbne zdania i wreszcie na gotowy ustęp tekstu. Może na tym marginesie będę pisał pionowo? Nie chciałbym, aby moja praca stała się nieczytelnymi bazgrołami. Przynajmniej ćwiczyłem pisanie ręcznie. W każdym razie opanowałem strukturę i wydaje mi się, że wstęp będzie łatwy, następnie synteza, gdyż bez wątpienia będę miał jakąś opinię na zadany temat. Zakończenie wydaje mi się banalne, muszę tylko znaleźć coś ogólniejszego. Najgorzej będzie z wymyśleniem argumentów za i przeciw oraz z ich logicznym uporządkowaniem. W końcu będę musiał przeczytać wszystko dokładnie aby zlikwidować błędy.       
     Zasadniczo nie robię ich dużo, na przykład pisząc ten artykuł po francusku popełniłem tylko jeden – zapomniałem o kresce w wyrażeniu « mots-clés ». Wygląda to obiecująco!

Wednesday 11 September 2013

Français : la vingt-sixième semaine

La vingt-sixième semaine (du 13 juillet au 19 juillet)

     Alors, mon dernier devoir est revenu évalué il y a quelques heures. J'ai obtenu 78 pour cent ce qui signifie que c'était assez bon. J'ai fait quelques erreurs mineures de l'accord et de la concordance des temps. Ce qui me vexe, c'est qu'il n'avait pas assez de ces mots connecteurs ! Combien d'eux il faut ? Il semble que chaque phrase doive commencer par un mot connecteur. À mon avis, c'est l'exagération. Je préfère que les idées soient liées par leur logique interne. Je suis convaincu qu'il devrait y avoir une chaîne de pensées pour qu'un lecteur suive le chemin décalqué par un auteur. Et peut-être que je suis erroné ? Il paraît qu'on peut lier les idées de façon externe, exactement par les mots connecteurs. Ça me semble bizarre mais ça m'est égal. C'était le dernier devoir. En fin de compte j'ai acquis 80 pour cent pour toutes mes tâches. Maintenant il faut que je me prépare pour cet examen final gênant.
     C'était le thème de mes travaux pratiques à Cardiff samedi dernier. J'y suis venu en train. J'adore aller en train. Ce qui va entre Cheltenham et Cardiff passe à travers le paysage pittoresque. Il y a les prés sur lesquelles pâturent les moutons, quelques villages et hameaux, les champs et les petits bois. Cependant moi, je suis toujours enchanté par la rivière Severn qui est de fois peu profonde mais de fois elle est si pleine de l'eau qu'elle touche le bord du chemin de fer.
     Alors j'étais à Cardiff à ces travaux pratiques et nous travaillons sur toutes ces choses nécessaires pour une dissertation. Je ne peux pas encore comprendre comment les autres inventent toutes ces idées avec autant vitesse. Je m'hébète.

Wednesday 4 September 2013

Français : la vingt-cinquième semaine

 La vingt-cinquième semaine (du 6 au 12 juillet)

     La semaine dernière je travaillais d'arrache-pied à mon devoir ultime. Il a fallu que je fasse une présentation orale sur le sujet de la sous-représentation des femmes dans la vie publique et que je parle pendant quatre à cinq minutes. J'ai passé entre cinq et six heures en le préparant. J'ai voulu parler des notes mais je ne suis pas parvenu à faire cela parce qu'il était impossible pour moi de reconstruire toute la phrase de quelques mots. Donc il fallait que j'ajoute autant de mots afin que je puisse énoncer tout mais il s'est avéré qu'il fallait tous les mots dans la phrase. Il était très pénible de ne pas oublier de parler sur le sujet, de construire les phrases conformément à la grammaire et de prononcer les mots correctement. Donc j'ai fini en écrivant une dissertation. Ce qui était le plus difficile, c'était de trouver les raisons pro et contre la sous-représentation des femmes dans la vie publique. En même temps il a fallu que j'utilise quelques locutions pour montrer que je les ai apprises. Enfin je l'ai achevé et envoyé. Maintenant il faut que j'attende une semaine pour le résultat.